1er décembre 2019. Une date que le monde entier marquera, avec tant de souvenirs lugubres, d’une pierre noire, très noire. Une date qui restera gravée dans les annales de l’humanité en lettres mauves de nécrologies massives.
C’est le jour où, alors que le Système de Nations unies consacre le 1er décembre de chaque année à la lutte contre le VIH/SIDA, la pandémie du vingtième (XXe)siècle, une autre pandémie fit irruption en Asie. Sur l’appela Coronavirus ou COVID-19.
Depuis lors, ce virus est allé à la conquête de la planète, de Wuhan, en Chine, aux États-Unis, où le nombre de morts se multiplient exponentiellement, en passant par l’Europe pour enfin chuter en Afrique. Sur son passage, cette épidémie massacre des familles entières et créent des orphelins ainsi que des veufs.
Plus que le virus lui-même, c’est la PEUR qui fait plus des victimes. Par ignorance ou à dessein, certains la propagent en se servant de nouvelles technologies de l’information et de la communication tels que les mass-médias traditionnels (radio, télévision) ou surtout l’internet avec sa kyrielle de réseaux sociaux.
Pour que ce virus qu’est la PEUR ne sévisse pas en Afrique qui, d’après les scientifiques occidentaux, assistez aux jours sombres de la contagion au COVID-19, votre magazine s’évertue à révéler d’où provient la peur, par qui et dans quel mais est-elle propagée et surtout à qui elle profite…
En cette période de guerre sanitaire, la peur provient principalement de la DÉSINFORMATION. Comme allégué ci-haut, c’est les médias tant officiels qu’officieux autrement réseaux appelés sociaux qui l’entretiennent.
Côté officiel, c’est fait à dessein par certains gouvernants du monde afin de mieux mater leurs peuples en frappant leur imaginaire. Tantôt, sur surestime le nombre de morts. Tantôt, sur « spoile » les ravages de la contagion en anticipation, avec une précision inouïe, l’ampleur d’une contamination qui n’a pas encore atteint des proportions très inquiétante, comme en Afrique.
L’objectif, en définitive, est de restreindre le plus possible les libertés individuelles de populations. Des populations jugées probablement un peu trop courageuses et prêtes à combattre toutes initiatives liberticides.
Même le 11 septembre et tout le cortège des attentats islamistes perpétrés dans les mégalopoles occidentales n’ont pas suffi à créer une législation susceptible d’apprivoiser les peuples du monde civilisé.
Côté réseaux sociaux, c’est vous et nous, hormis quelques trolls commandités par les États, qui propageons parfois inconsciemment des rumeurs, des mensonges et des informations psychotiques. Awakening Africa Magazine a adjoint au présent article un processus à suivre pour éviter d’être vecteur de la désinformation.
S’agissant de la question, à qui profit la peur, et bien, un beaucoup de nébuleuses inextricablement liés au secteur de la santé. Les firmes pharmaceutiques sont les premières à être logiquement indexées. Toute la polémique autour des vaccins et de l’efficacité des autres produits ne la Chloroquine, ne sont que la catastrophe conséquence de leur lobbying puissant.
Dans son ouvrage (Ecole de la Vie, Métaphysique et Ésotérisme, France, Le Puy en Velay, 1975), Paulo Amaro a affirmé, nous citons, « Croire que l’industrie pharmaceutique lutte contre les maladies, c’est comme croire que les fabricants d’armes luttent pour la paix ». C’est drôlement vrai !
En peu de mots, pour être laconique, nous sensibilisons d’ores et déjà tous les africains d’éviter de propager la PEUR en répandant des informations non vérifiées ne sont pas sur ne connait la source.
N’oublions pas que « la peur engendre la panique » (Samuel Ferdinand-Lop, Les nouvelles pensées et maximes, 1970) et que « la peur est une mauvaise conseillère ». (Victor Cherbuliez, Le roman d’une honnête femme 1865) Enfin de compte, « Il est des gens que la peur d’avoir peur rend agressifs » (Victor Cherbuliez ; Prosper Randoce en 1867). C’est le cas des africains. C’est ce que les prédateurs de nos États attend, de pied ferme, pour les démonteurs.
SOYONS PRUDENTS
Éric Ossongo K.